La Pâtisserie Lecire à Wepion est une boulangerie-pâtisserie familiale traditionnelle dans laquelle toutes les fabrications sont produites de A à Z. Savoir apporter quelques touches de modernité tout en respectant le savoir-faire artisanal fait de cette boulangerie une adresse incontournable.
Wépion est le berceau de la fraise wallonne typique, cultivée en plein air, de mai à octobre.
Cette spécialité locale, véritable « Fraise de Wépion », est conservée afin de proposer tout au long de l’année de délicieux entremets, sorbets et glaces.
Chez les Lecire, l’ambition et les rêves vont de pair. Père et fils se succèdent à la tête de l’établissement, dans un engagement sans faille pour le fait maison.
ANTOINE LECIRE (°1998) Durant quatre ans, il a effectué son apprentissage à l’institut IFAPME de Limal et chez Marc Ducobu à Waterloo. Son passage chez Christophe Michalak à Paris, ce célèbre chef pâtissier, auteur et présentateur de télévision, lui a ouvert les yeux et l’esprit. Deux grandes maisons qui l’ont préparé à devenir entrepreneur. Aux côtés de son père, Johnny Lecire, pour lequel Antoine a le plus grand respect, la pâtisserie Lecire est prête pour l’avenir.
Quelles différences entre la France et la Belgique ? La France dispose d’une variété inépuisable d’ingrédients. Des productions liées à la fois à la diversité de son climat (mer et montagne) et de sa géographie (nord de la France, sud de la Provence, …). Cela influe sur les variétés de fruits, légumes, noix, produits laitiers et céréales. Une diversité qu’apprécient les Français, contrairement aux Belges. La chaîne alimentaire est donc plus courte qu’en Belgique.
La formation professionnelle est moins académique qu’en Belgique, davantage axée sur la pratique et plus approfondie. La connaissance des ingrédients et des matières premières est d’un niveau plus élevé. La gastronomie est dans l’ADN et la culture des Français. Après tout, ce sont les Belges qui invitent les pâtissiers français et rarement l’inverse.
Travailler pour l’un des chefs les plus renommés de Paris, c’est travailler pour une institution. Christophe Michalak a intégré les hôtels les plus luxueux de New York, Londres et Paris, avant de travailler chez Fauchon aux côtés de Pierre Hermé. Il a ouvert récemment sa boulangerie baptisée “KOpain” à côté de sa pâtisserie.
Il canalise son sens du détail, sa présence explicite, son expertise technique et son esprit d’équipe dans une approche efficace de son activité. Les tendances telles que le végétalien, le sans lactose et le sans gluten, sont évidentes à Paris, où l’on voit s’ouvrir des magasins qui proposent une gamme 100 % végétalienne ou sans gluten. Nous devons à nos clients d’aller avec eux dans cette direction - ils déterminent nos revenus ! Une école de rêve pour tout jeune pâtissier passionné.